Nous avons tant de choses en commun -des sablés très chocolat-
Hier après-midi, une jeune femme coréenne qui portait un manteau en tweed et des petites tennis Adidas vintage est venue à la maison pour ma première leçon de piano. J'étais très intimidée, et je crois que ça s'est entendu. Je veux dire, je peux jouer Châtenay Malabry quand je suis toute seule mais pas une seule gamme correctement quand on m'observe. C'est mon petit côté brouillon.
Quand le cours s'est terminé, après qu'elle ait dit "Je suis tellement contente d'avoir fait ta connaissance" (!) et que rendez-vous fut pris pour tous les mercredis après-midis, j'ai préparé une toute petite tasse de chocolat et j'ai découpé un petit morceau de l'agneau de Pâques en provenance directe d'une très estimable pâtisserie strabourgeoise. Cette douceur, tendre, délicate et réconfortante a fait le voyage la semaine dernière en compagnie d'un cake au chocolat au gianduja, d'un carrot cake, d'une bouteille de Muscat, d'assiettes emballées dans de la toile cirée (déjà recyclée en sets de table), d'un sac tellement regretté, et ce qui a constitué notre repas hier soir, à savoir un gros rouleau de fleischschnacka et son bon bouillon. M-e-r-c-i.
C'était Noël au printemps. Ils ne sont pas venus en costume rouge bordé de moumoute (bien que lui se soit laissé pousser la barbe) mais dans de jolis habits et avec le sourire, malgré la nuit passée à conduire. P. et N. sont de jeunes gens modernes et classe, vous le savez déjà, et ils cuisinent des choses aussi variées que du Presskopf, des sfogliatelle au safran ou des Käseknepfle, vous le savez aussi. J'étais un peu intimidée et parfois, c'était un peu raté. Mon petit côté brouillon.
Heureusement, ils sont vraiment extra et ne se sont pas enfuis par le balcon du salon grâce à des draps qu'ils auraient noués en prenant la précaution de balancer un matelas pour la réception (nous habitons au troisième étage).
En fait, je crois qu'on s'est bien amusé, et j'ai adoré la journée passée ensemble à la mer, les longues ballades le nez au vent, certaines péripéties crêpières, le goût dément du tonkatsu, du canard au bouillon, du sashimi de saumon et de la glace au calpis à Tanpopo, nos histoires et nos rires. Il a fait un temps splendide! J'espère qu'ils reviendront, et qu'il y aura aussi à la maison Mingou et son poulet.
Le jour de leur départ, choc des contrastes, j'étais de garde à l'hôpital.
Dans la nuit, dormir aurait été un luxe et, en alternant les verres de lait froid et en refroidissant mes tisanes, j'ai poursuivi la lecture addictive des archives du blog de Clotilde, que je n'ai vraiment lu qu'un an et demi après ses débuts, et de façon itérative en plus (cela pour des raisons non encore élucidées même si j'en entends déjà certain(e)s me suggérer que c'est un peu trop guimauve et compagnie pour être honnête). Je suis absolument admirative de son style attachant et gourmand, de sa discrétion et de son sens du dévoilement à la fois, de la justesse qu'on devine dans le portrait qu'elle brosse d'elle-même par toutes petites touches et à travers le spectre de sa gourmandise. Elle raconte comme personne sa rencontre avec son premier sticky toffe pudding et je trouve vraiment remarquable de pudeur son récit des évènements qu'elle sait dignement fêter comme le dîner qui a scellé sept années passées ensemble ou l'anniversaire de ses 25 ans et la chanson qui va avec, cette vieille chanson de Superflu, qui me hantait autefois, que j'avais oubliée; elle était profondément enfouie sous une tonne de souvenirs qui ont défilé comme de petites diapositives tandis que j'écoutais la chanson et que je m'aperçus que je connaissais encore parfaitement les paroles. Elle faisait partie des titres que j'adorais entendre de façon inattendue à la radio (comme quand j'avais cinq ans et que je guettais Marcia Baïla). L'année de mes 25 ans, j'ai vu Three times au cinéma et mon anniversaire avait été fêté dans une chambre vue sur mer de l'Hôtel Beaulieu à Biarritz.
P. nous avait dit, quand Mingou et moi dormions sur son canapé, qu'elle avait repéré quelques recettes alléchantes dans le livre de Clotilde et quand elle a publié celle des sablés très chocolat, forcément j'en ai eu envie. P. a vraiment bon goût, ces sablés sont démoniaques.
Leurs sablés très choco
Pour 40 sablés pour choco-addicts
-110g de beurre mou
-100g de sucre blond
-1/2 cc de fleur de sel
-1cc d'extrait de vanille
-70g de chocolat noir fondu
-70g de chocolat noir concassé
-60g de farine blanche
-60g de farine complète
-30g de cacao non sucré
-1/2cc de levure
-30g de grué de cacao
Mélanger le beurre et le sucre pour en faire un mélange crémeux, puis ajouter la fleur de sel, la vanille et enfin le chocolat fondu. Bien mélanger.
Mélanger par ailleurs les farines, le cacao et la levure puis incorporer ce mélange au précédent.
Incorporer enfin le grué de cacao et le chocolat concassé.
La pâte est épaisse, le but est de la travailler le moins possible mais que le mélange soit quand même homogène.
La réfrigérer pendant au moins 20 minutes.
Quand vous voudrez les cuire, préchauffez le four à 180°, prélevez l'équivalent d'une cuillère à café de pâte et faites une boule que vous aplatissez légèrement une fois déposés sur du papier cuisson sur la plaque du four.
Ils sont prêts au bout d'une dizaine de minutes (tout mous à la sortie du four, ils durcissent par la suite).
Quand le cours s'est terminé, après qu'elle ait dit "Je suis tellement contente d'avoir fait ta connaissance" (!) et que rendez-vous fut pris pour tous les mercredis après-midis, j'ai préparé une toute petite tasse de chocolat et j'ai découpé un petit morceau de l'agneau de Pâques en provenance directe d'une très estimable pâtisserie strabourgeoise. Cette douceur, tendre, délicate et réconfortante a fait le voyage la semaine dernière en compagnie d'un cake au chocolat au gianduja, d'un carrot cake, d'une bouteille de Muscat, d'assiettes emballées dans de la toile cirée (déjà recyclée en sets de table), d'un sac tellement regretté, et ce qui a constitué notre repas hier soir, à savoir un gros rouleau de fleischschnacka et son bon bouillon. M-e-r-c-i.
C'était Noël au printemps. Ils ne sont pas venus en costume rouge bordé de moumoute (bien que lui se soit laissé pousser la barbe) mais dans de jolis habits et avec le sourire, malgré la nuit passée à conduire. P. et N. sont de jeunes gens modernes et classe, vous le savez déjà, et ils cuisinent des choses aussi variées que du Presskopf, des sfogliatelle au safran ou des Käseknepfle, vous le savez aussi. J'étais un peu intimidée et parfois, c'était un peu raté. Mon petit côté brouillon.
Heureusement, ils sont vraiment extra et ne se sont pas enfuis par le balcon du salon grâce à des draps qu'ils auraient noués en prenant la précaution de balancer un matelas pour la réception (nous habitons au troisième étage).
En fait, je crois qu'on s'est bien amusé, et j'ai adoré la journée passée ensemble à la mer, les longues ballades le nez au vent, certaines péripéties crêpières, le goût dément du tonkatsu, du canard au bouillon, du sashimi de saumon et de la glace au calpis à Tanpopo, nos histoires et nos rires. Il a fait un temps splendide! J'espère qu'ils reviendront, et qu'il y aura aussi à la maison Mingou et son poulet.
Le jour de leur départ, choc des contrastes, j'étais de garde à l'hôpital.
Dans la nuit, dormir aurait été un luxe et, en alternant les verres de lait froid et en refroidissant mes tisanes, j'ai poursuivi la lecture addictive des archives du blog de Clotilde, que je n'ai vraiment lu qu'un an et demi après ses débuts, et de façon itérative en plus (cela pour des raisons non encore élucidées même si j'en entends déjà certain(e)s me suggérer que c'est un peu trop guimauve et compagnie pour être honnête). Je suis absolument admirative de son style attachant et gourmand, de sa discrétion et de son sens du dévoilement à la fois, de la justesse qu'on devine dans le portrait qu'elle brosse d'elle-même par toutes petites touches et à travers le spectre de sa gourmandise. Elle raconte comme personne sa rencontre avec son premier sticky toffe pudding et je trouve vraiment remarquable de pudeur son récit des évènements qu'elle sait dignement fêter comme le dîner qui a scellé sept années passées ensemble ou l'anniversaire de ses 25 ans et la chanson qui va avec, cette vieille chanson de Superflu, qui me hantait autefois, que j'avais oubliée; elle était profondément enfouie sous une tonne de souvenirs qui ont défilé comme de petites diapositives tandis que j'écoutais la chanson et que je m'aperçus que je connaissais encore parfaitement les paroles. Elle faisait partie des titres que j'adorais entendre de façon inattendue à la radio (comme quand j'avais cinq ans et que je guettais Marcia Baïla). L'année de mes 25 ans, j'ai vu Three times au cinéma et mon anniversaire avait été fêté dans une chambre vue sur mer de l'Hôtel Beaulieu à Biarritz.
P. nous avait dit, quand Mingou et moi dormions sur son canapé, qu'elle avait repéré quelques recettes alléchantes dans le livre de Clotilde et quand elle a publié celle des sablés très chocolat, forcément j'en ai eu envie. P. a vraiment bon goût, ces sablés sont démoniaques.
Leurs sablés très choco
Pour 40 sablés pour choco-addicts
-110g de beurre mou
-100g de sucre blond
-1/2 cc de fleur de sel
-1cc d'extrait de vanille
-70g de chocolat noir fondu
-70g de chocolat noir concassé
-60g de farine blanche
-60g de farine complète
-30g de cacao non sucré
-1/2cc de levure
-30g de grué de cacao
Mélanger le beurre et le sucre pour en faire un mélange crémeux, puis ajouter la fleur de sel, la vanille et enfin le chocolat fondu. Bien mélanger.
Mélanger par ailleurs les farines, le cacao et la levure puis incorporer ce mélange au précédent.
Incorporer enfin le grué de cacao et le chocolat concassé.
La pâte est épaisse, le but est de la travailler le moins possible mais que le mélange soit quand même homogène.
La réfrigérer pendant au moins 20 minutes.
Quand vous voudrez les cuire, préchauffez le four à 180°, prélevez l'équivalent d'une cuillère à café de pâte et faites une boule que vous aplatissez légèrement une fois déposés sur du papier cuisson sur la plaque du four.
Ils sont prêts au bout d'une dizaine de minutes (tout mous à la sortie du four, ils durcissent par la suite).
28 Comments:
Je n'arrive pas à me représenter ce que c'est d'avoir écouté Marcia Baila à 5 ans alors que moi, j'en avais...
Je me disais qu'une des ombres avait un petit air de Loukoum.
Ce billet était un vrai plaisir à lire, et il m'a donné envie à la fois de cake au chocolat, de petits plats alsaciens, et de spécialités asiatiques (et de balades au bord de la mer, mais elle est bien loin).
Ces derniers jours,Je me disais en parcourant ton blog et celui de Loukoum,que l'absence de billets cachait peut-être une escapade commune! Je ne m'étais pas trompée;
C'est un plaisir de lire les récits de vos rencontres, les mots sont toujours justes, on se dit que de telles amitiés sont précieuses et cela ne fait que conforter l'image sincère que l'on se fait de toutes les 2(et Mingou)en vous lisant.
Les sablés seront trop chocolatés pour moi, mais dernièrement j'ai goûté à la recette de pancake publiée en janvier je crois; pancake dégustés le soir(oui il m'arrive de me faire comme un petit déj le soir lorsque j'ai besoin de me réconforter), tièdes un mug de Nesquick (c'est l'enfance qui parle) tout cela en écoutant Bowie chanter Life on Mars,un musicien,belge je crois, découvert il y a peu, Wim Mertens et René Aubry.
Sinon je n'étais jamais allée faire un tour chez Chocolate et Zucchini, je vais prendre le temps d'y fouiner; Ce week end, j'ai découvert un blog que tu connais peut-être déjà "la tartine gourmande" où il y a de très belles photos et quelques jolies recettes à piocher;
J'ai fait très long,je ne commente pas souvent alors là j'ai sans doute abusé un peu; Merci Patoumi pr le plaisir de te lire et les savoureuses recettes(humm le saumon Patoumi ma préférée).
Mab
Je me suis dit: "oh j'aimerais tellement lire un texte de Patoumi qui n'écrit pourtant pas depuis un certain temps, mais c'est mon anniversaire!". Mon voeu s'est exaucé, merci Patoumi!
agnès du Mexique
j'aime tellement me promener par ici ...
CLquipopotte♥♥♥
j'aime toujours autant ces petites incursions impressionistes dans ton univers. Quand je te lis j'ai l'impression de regarder dans le trou de ta serrure, je vois à demi et imagine tout le reste, je pars dans des douces rêveries. Merci.
Gwendoline: et moi en même temps, j'aurais bien aimé naître plus tôt...
Bache: le cake au chocolat vient de chez Naegel et est vraiment incroyablement bon!
Mab: j'aime bien découvrir de nouvelles lectrices! Merci. Ici ausssi nous faisons parfois des petits déjeuners au dîner, avec du chocolat chaud et de la brioche, ou des crêpes (chouette pour les pancakes!), je trouve ça très rassurant. Et puis sinon, oui oui je connais la Tartine gourmande mais je crois que c'est un peu trop parfait à mon goût. J'aime bien quand il y a des trous dans les torchons, de la vaisselle dépareillée et des photos un peu tremblées... mais j'admire la performance de Béa!
Agnès: alors un grand Happy Birthday à toi!
CL: merci
Reinette: c'est moi qui dit merci. Et aussi que tu écris vraiment super bien.
Marcia Baila a 5 ans...on va etre un certain nombre a se prendre une baffe la :)
J'ai beaucoup lu Clotilde a ses debuts, et j'etais charmee comme toi par son style et sa simplicite.
Et puis j'ai arrete d'y aller progressivement, trop de monde, je me sentais anonyme parmis les anonymes. Je n'avais pas de blog a l'epoque, mais j'aimais bien (et c'est toujours le cas) quand les blogueurs repondaient - je sais bien que Clotilde a des milliers de lecteurs, et que c'est trop demander, je m'en rends compte maintenant, il est impossible de repondre a tout le monde. Mais il est de fait que c'est ca qui m'a eloignee de ce blog.
Je vais aller y refaire un tour tiens.
Loukoum, Mingou et toi, vous allez me faire craquer pour les fleishnaka un des ces jours, je le sens gros comme une maison.
Je suis un peu gênée de déposer un commentaire à la suite d'un billet qui parle de mon blog en termes si élogieux, mais ces compliments me touchent d'autant plus vivement que je suis une lectrice fidèle de ton blog, dont j'admire justement la justesse et la délicatesse. Alors merci, vraiment : comme on dit en anglais, "you've made my day!" Et je suis absolument ravie que ces biscuits t'aient plu.
J'en profite aussi, si tu permets, pour glisser un mot à Gracianne, dont j'apprécie aussi le blog d'ailleurs : je suis désolée que tu te sois sentie "anonyme parmi les anonymes", ce n'est pas du tout l'effet recherché.
C'est vrai que je trouve ça difficile de répondre individuellement à chacun, d'autant que je n'ai pas toujours un truc lumineux à répondre à part "merci", mais il n'en reste pas moins que chaque commentaire ou message que je reçois est lu avec attention et sincèrement apprécié. Et par ailleurs, je m'efforce de répondre aux questions qui me sont posées. J'avoue que j'y arrive plus ou moins bien selon les périodes, mais c'est ce à quoi j'aspire.
(chatenay malabry... cette chanson me raconte beaucoup de choses... j'imagine comme ce soit être fort de pouvoir ressentir tout cela en jouant -même juste pour soi.)
j'aime ta photo des ombres sur la plages, anonymes et attachantes. on a presque senti, aussi, le vent tout doux et le soleil venu saluer vos histoires et vos rires...
Je te lis toujours comme un roman, je commence et je ne peux m'empêcher d'arriver jusqu'au bout, touchée. En plus tu m'as donnné faim de plats Alsaciens, de chocolat...
C'est très beau et vrai ce que tu dis de Clotilde, je partage complètement :-)
je voulais juste dire merci pour le morceau de superflu qui a fait affluer une montagne de souvenirs et je m'en vais me pencher sur le blog de clotilde ...
Gracianne: je pense que le must serait une soirée Fleischnacka toutes les quatre, ou cinq avec Camille ou six avec Marion... Ca va faire du travail pour Loukoum! Pour Clotilde, je comprends tout à fait la sensation d'anonymat MAIS je ne sais pas bien pourquoi, grâce à son twitter et son moblog, cet anonymat ne me pèse pas trop, en fait je la lis comme un livre, sans attendre d'entendre son rire à travers les lignes comme lorsqu'il s'agit du blog d'une vraie amie, mais j'aime bien comme ça, c'est érudit et drôle, ça me plaît!
Clotilde: attention hein, c'était pas pour passer la pommade mais vraiment sincère! :-) Mais je pense que tu l'as compris! Juste aussi pour dire que je crois que ce sont les anecdotes du livre qui m'ont rendu addict. Et que la video pour le Fooding est très chouette!
Les chéchés: ce moment sur la plage était vraiment chouette, on a beaucoup ri, je suis contente qu'on imagine bien ça sur la photo (prise par G.)
Edda: l'Alsace est une région très gourmande d'après ce que j'ai pu voir à Strasbourg (jamais vu autant de pâtisseries au mètre carré)! Merci pour les mots gentils.
Marie: j'espère que vous aimerez le blog de Clotilde!
Tu as peut être un côté brouillon au piano (je sais pas, y'a pas eu d'entrainement en public finalement!) mais (rétablissons la vérité aux yeux de tes lecteurs!) pas en ce qui concerne le maniement de la cuillère en bois trouée! :) Merci merci à toi et à G.!
Je suis bien contente que les hôtels de Rennes soient tous pourris mais quand même j'espère qu'on est pas si intimidants que ça (sinon vous n'allez pas vouloir venir à Strasbourg!) en tous cas c'était parfait et on reviendra voir la mer avec vous et gouter chez Margaux
(Je suis contente que les rdv soient pris avec la prof de piano)
(Je connaissais tout l'album de superflu sur le bout des doigts à l'époque... et j'étais loin d'avoir 25 ans! ^^)
Vivement que l'on retrouve Mingou et courage pour la nouvelle garde!
Ah mais si c'est pour un dîner avec vous je me lance sans problème dans la production industrielle de fleischschnacka (mais bon, elles seront sans doute moins bonnes que celles de la grand mère de Camille...)
Et puis moi aussi c'est clairement la lecture du livre de Clotilde qui m'a rendue bien plus assidue à la lecture de son blog qu'auparavant (et c'est chouette!)
Loukoum°°°: je ne désespère pas, la prochaine j'espère que mon hôtel décrochera sa première étoile ^^! Tu sais cette journée à la plage et l'aventure chez Margaux restera pour moi une journée mémorable! Pour la garde de demain, je ne crains plus rien, je me suis gardé l'ultime morceau de cake au choco qui se garde définitivement très bien! Merci encore!
la chanson de Superflu c'était il y a des trillions d'années au moins et je l'avais oubliée aussi ; elle collait tellement à nos vies à ce moment là, elle était si facile à chanter gracieusement, on avait tellement l'impression d'être grands et d'avoir tout compris alors, que la ré-écouter m'a fait incroyablement frissonner.
Je suis prete a mettre la main a la pate pour les fleishnacka, je crois que j'adorerais ca :)
Je suis repassee mettre mon petit grain de sel sous la reponse de Clotilde. J'espere seulement qu'elle ne s'offusquera pas de mes propos, ce n'etait pas un jugement de valeur sur son blog, d'autant plus que je l'ai toujours apprecie. C'est le premier foodblog que j'ai lu, il y a environ 6 ans, celui qui m'a donne le virus et fait decouvrir au travers de ses liens de nombreux univers differents ; je lui en suis grandement reconnaissante.
Ce que je voulais dire, c'est tout simplement que je prefere les blogs dont les commentaires sont plus intimes, comme dans un salon de the ou on discuterait popote entre copines. C'est ce que je recherchais en creant mon propre blog, la communication, l'echange, et c'est ce que je recherche chez les autres. C'est pour ca que j'ai toujours mis un point d'honneur a repondre aux commentaires, soit sur le blog, soit directement, soit en visitant les autres blogs, dans la mesure du possible (et du temps dont je dispose). Mais je comprends tres bien ce que dit Clotilde. A un certain moment, j'avais 50 commentaires sous chacun de mes billets, difficile alors de repondre a tout le monde, ca me bouffait mon temps, et je suppose que ca a decourage certains de mes visiteurs. En fait, je dois dire que je me sens mieux depuis qu'il y a moins de commentaires et que je peux tisser des relations plus personnelles avec chacun.
En resume, il faut que tout ca reste un plaisir.
Je ne vais pas encombrer tes commentaires plus longtemps. Belle journee Patoumi et bon courage pour la garde.
Ah ce rhume, ces bouffées de chaleur, ce mémoire... et pourtant ce soleil, ces sablés au chocolat qui me turlupinent.
C'est décidé, je pars faire des courses. J'attends beaucoup de réconfort de ces petites sucreries... au moins pour le week-end.
Un sourire en passant.
Chez Margaux comme chez Bergamote, même combat : 1/2 h pour saliver, soit à table, soit dehors.
Cinq étoiles pour l'hôtel, trois pour le restaurant, mention spéciale à la découpe du coucou. Merci pour ce weekend ensoleillé
Mais... depuis quand est-tu redevenue "alibi" plutôt que "lubies" ??
Ces sablés doivent être juste assez chocolatés pour moi. C'est même la première fois qu'une recette de sablés au chocolat me fait vraiment envie.
es-tu et non est-tu
Diable, pourquoi ne peut-on pas corriger ses fautes d'orthographes après avoir posté un commentaire ???
Madame Gâ: je me souviens qu'on se disait "On se fera pas prendre au piège"...
Gracianne: oui, je crois que tu adorerais ça! Ne t'excuse surtout pas de commenter sur la longueur, j'aime bien, ça rend le blog vivant. Ca m'a fait pensé à ce blog que j'adorais et que tu dois connaître, ça s'appelait French Toast, et je crois qu'avec Le hamburger et le croissant, ce sont les deux blogs qui m'ont donné envie d'avoir le mien!
Léna: je connais bien les turpitudes des journées ensoleillées qu'il faudrait passer à travailler. J'espère que le week end sera DOUX pour toi! (les sablés y peuvent beaucoup)
N.: ouh, N. en guest star sur mon blog! La prochaine fois ce sera encore mieux, promis! Merci encore pour toutes les bonnes choses apportées.
Natalia: Mingou, son poulet et G; m'ont dir un soir à la Régalade que c'était n'importe quoi ces histoires de lubies et Mingou avait des arguments très convaincants pour que je reprenne l'alibi!
Je crois que de telles amitiés tolèrent parfaitement les "imperfections", d'ailleurs la perfection n'est-elle pas un peu ennuyeuse?
Cela étant, je crois que je serais dans mes petits souliers si P. devait venir manger à la maison...
L'important, ce sont tous les moments que l'on partage et dont on se souvient ensuite avec bonheur.
Quant à moi, je me sens chanceuse de vous "connaître" un peu: la carte m'a fait vraiment plaisir!
Belle semaine à toi!
C'est bien que vos rencontres aient la saveur mystérieuse de ces fleischschnaka (qui doivent intriguer tous vos lecteurs) et du cake au gianduja (qui nous fait aussi saliver), des sortes de petite madeleine à l'usage de votre amitié.
Cécile: bon la prochaine fois, ce sera coquillettes au beurre pour tout le monde! :-) A bientôt.
Rose: Loukoum°°° explique tout ça très bien dans un de ses billets!
Bonjour,
j'ai atterri sur ton blog il y a deux heures en cherchant sur google "où acheter du grué de cacao à Rennes". Depuis, je me suis perdue avec bonheur dans tes récits/recettes... Mais je t'avoue que ma question première est restée sans réponse... Alors saurais-tu, par hasard, où trouver du grué de cacao à Rennes ? J'en raffole, mais jusqu'ici je n'en ai jamais trouvé...
merci d'avance, et bonne continuation à toi !
décidemment, j'aime bien cette robe.
Tout à fait d'accord pour la soirée fleisschnacka avec toutes les copines (et je pourrai donner un coup de main à la pâte, j'ai des compétences alsaciennes)
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