Ca change tout!
Il y a eu quelques nuits blanches et des matins difficiles (j'ai bu du Tonic Breakfast mais ça n'a pas eu beaucoup d'effets), des crackers danois trempés dans du café au lait avec pas mal de sucre, beaucoup de mauvaise humeur injuste de ma part, plein de vaisselle dans l'évier et des robes sales partout dans l'appartement mais tout s'est bien passé, il faut croire que je connais vraiment bien le sujet (alors que j'étais morte d'angoisse et que le mémoire a été relié une heure avant sa présentation).
Merci P. pour la conversation sur les robes et les biscuits, merci A/C pour les conseils bien sentis, merci C. pour la jolie photo, merci E. pour la carte impromptue, merci tout le monde pour les bonnes ondes, l'année prochaine ce sera mémoire ET thèse!
Merci G. pour la patience, et pour le week end surprise à Paris...
A L'ami Jean, les tables sont si serrées qu'on ne perd rien des conversations des voisins. Heureusement, à côté de nous, il y avait un couple de Marseillais adorable. Ils ont chaudement insisté pour qu'on finisse leur bouteille de bon vin basque, et puis aussi pour qu'on partage le riz au lait du monsieur, un riz au lait exceptionnel, crémeux, vanillé, la sensation que quelqu'un que vous aimez vous borde dans des draps doux. Après, suite à une demande timide, la dame au sourire maternel a noté trois adresses à Marseille sur mon agenda pour d'autres voyages, et puis elle nous a tendu des noix cacaotées. Si vous en doutiez encore, sachez que tout est délicieux à L'ami Jean (même sans Catherine Deneuve), j'aurais vraiment voulu dire à Stéphane Jégo que j'adore sa façon de cuisiner mais déjà que je ne sais pas y faire avec Vincent Delerm...
Ce fut un week end plein de volupté, avec des éclairs rose-framboise pour le goûter, des rencontres à la Cocotte dont je vous reparlerai, des spaghetti alla vongole et de la cassata siciliana à tomber. On a beaucoup marché, écouté de la musique à Gals rock (elles ont un canapé très confortable), on est resté longtemps devant les cascades végétales de Lucian Freud. J'avais un souvenir ému de la lumière des tableaux de Turner vus un été à Londres dans des salles désertes mais au Grand Palais j'ai préféré ceux des peintres qu'admirait Joseph Mallord William (j'adore ce nom!) en son temps. Je trouve qu'il a bon goût.
Dans le train, j'ai grignoté un macaron à la vanille, et puis je me suis endormie sur ses genoux.
Merci P. pour la conversation sur les robes et les biscuits, merci A/C pour les conseils bien sentis, merci C. pour la jolie photo, merci E. pour la carte impromptue, merci tout le monde pour les bonnes ondes, l'année prochaine ce sera mémoire ET thèse!
Merci G. pour la patience, et pour le week end surprise à Paris...
A L'ami Jean, les tables sont si serrées qu'on ne perd rien des conversations des voisins. Heureusement, à côté de nous, il y avait un couple de Marseillais adorable. Ils ont chaudement insisté pour qu'on finisse leur bouteille de bon vin basque, et puis aussi pour qu'on partage le riz au lait du monsieur, un riz au lait exceptionnel, crémeux, vanillé, la sensation que quelqu'un que vous aimez vous borde dans des draps doux. Après, suite à une demande timide, la dame au sourire maternel a noté trois adresses à Marseille sur mon agenda pour d'autres voyages, et puis elle nous a tendu des noix cacaotées. Si vous en doutiez encore, sachez que tout est délicieux à L'ami Jean (même sans Catherine Deneuve), j'aurais vraiment voulu dire à Stéphane Jégo que j'adore sa façon de cuisiner mais déjà que je ne sais pas y faire avec Vincent Delerm...
Ce fut un week end plein de volupté, avec des éclairs rose-framboise pour le goûter, des rencontres à la Cocotte dont je vous reparlerai, des spaghetti alla vongole et de la cassata siciliana à tomber. On a beaucoup marché, écouté de la musique à Gals rock (elles ont un canapé très confortable), on est resté longtemps devant les cascades végétales de Lucian Freud. J'avais un souvenir ému de la lumière des tableaux de Turner vus un été à Londres dans des salles désertes mais au Grand Palais j'ai préféré ceux des peintres qu'admirait Joseph Mallord William (j'adore ce nom!) en son temps. Je trouve qu'il a bon goût.
Dans le train, j'ai grignoté un macaron à la vanille, et puis je me suis endormie sur ses genoux.