Un okonomiyaki de dessin animé
Quand j'y repense, quand même, quand j'étais petite, je regardais pas mal la télé. Et pas que des trucs intelligents (mais y-a-t-il seulement eu des émissions intelligentes à la télé après les années quatre vingt? Je ne me souviens plus. Je ne la regarde plus depuis l'élection de Chirac, en 2002, sauf si c'est le palmarès du festival de Cannes, et encore, je crois que je préfère l'entendre à la radio: comme on ne voit aucun visage, on est suspendu aux voix et le suspense est insoutenable. J'aime bien. La télé ne me manque jamais. En fait, c'est comme si elle n'existait pas. Je trouve que tout y est dilué et inconsistant, sauf peut-être quelques compétitions sportives. Et bizarrement, moi qui ai une certaine aversion pour la transpiration collective, j'ai plusieurs souvenirs de finales de Roland Garros et aussi de quelques 100 mètres) ou qui sont censés muscler les neurones, au contraire. Vraiment, j'avais une appétence particulière pour les jeux sans conséquence: si Des chiffres et des lettres m'inspiraient un ennui sans nom (probablement dû au rythme des évènements et du peu de suspense ménagé), je me souviens du Juste Prix et notamment d'un jeu de mini golf, je me souviens de la Roue de la Fortune et de sa potiche, je me souviens du Jeopardy et de mon émerveillement naïf devant le concept même qui requérait de trouver la question et non une réponse, je me souviens (même si je ne l'ai pas vu très longtemps) de l'Académie des neuf et de l'écran divisé en neuf cases avec des gens dedans. Rien de tout cela n'est très stimulant intellectuellement mais bon, on ne lit pas Kant à cinq ans (et parfois, à vingt cinq ans, on ne l'a toujours pas lu. A trente ans peut-être?) Et même que dans le genre pas très stimulant, je regardais beaucoup de dessins animés. Ma maman travaillait la nuit et les mercredis matins, je devais m'occuper seule au quatrième étage d'un immeuble dans un quartier qui craignait un peu. Elle me préparait un sandwich soigneusement emballé dans du film étirable qu'elle entreposait au frigo (et que je convoitais dès le petit déjeuner) et il y avait aussi du chocolat blanc à la noix de coco en carrés prédécoupés par ses soins (oui, car un jour, infâme et ingrate petite fille, je l'avais réveillée parce que je n'arrivais pas à casser du chocolat. Ou peut-être voulais-je juste vérifier que même si elle dormait, je n'étais pas toute seule dans l'appartement dont la cuisine bleue nous a fait détester cette couleur pendant plusieurs années). Toujours est-il que pour m'occuper, je n'avais aucun scrupule à passer la moitié de la journée devant la télé, l'éteignant seulement au moment du documentaire animalier qui m'inspirait un ennui profond (la vie des lions dans la savane m'a longtemps dégoûtée) et en profitant pour goûter mon beau sandwich (il n'était alors que dix heures et demi du matin mais bon). Entre les mercredis et les fins d'après-midis, je me souviens avoir versé toutes les larmes de mon corps devant la terrible histoire de Bouba le petit ourson, sans parler de Rémi sans famille et cet épisode vraiment intolérable de cruauté où Vitalie succombe sans aucun ménagement. Je me souviens de l'anniversaire de Princesse Sarah, de l'arrachage de dent de Tom Sawyer par son petit frère, du bal où sont invitées les deux filles aînées du Docteur March (Meg et Jo), des Cités d'or, de Clémentine/Quand tu fermes les yeux/Tu devines/Le merveilleux, des aventures de Nils Olgerson... Il y en a trop.
Et puis, il y avait un dessin animé japonais que je trouvais un peu sulfureux bien que franchement dégoulinant, dont je ne me souviens plus du titre mais où il s'agissait d'une jeune fille avec une queue de cheval, élevée par son père qui tient un restaurant, et qui fréquente -de très près- les membres d'un groupe de rock dont le chanteur avait non seulement les cheveux roses coiffés en pseudo banane mais aussi un petit frère aux cheveux bleus et bouclés qui ne sortait jamais sans son chat dodu qui s'appelait, et ça j'en suis certaine, Roméo. Il se trouve que ce chat était particulièrement friand de crêpes que préparait le papa de la jeune fille sur la plaque chauffante du comptoir de son restaurant or, la ressemblance de ces crêpes avec les okonomyaki goûtés pour la premières fois lors de londoniennes vacances, ne fait aucun doute. J'ai percé le mystère des crêpes dont rêvait Roméo!
L'okonomiyaki (qui signifie littéralement "ce que vous voulez, grillé") est une sorte de crêpe japonaise assez épaisse que l'on peut garnir selon son envie (et ses placards). C'est un plat très régressif, sucré, doux, croustillant dehors et très moelleux dedans. Grâce à la farine toute prête à okonomiyaki (que l'on peut trouver à Paris à l'étage de Kioko), la préparation est très rapide et le rapport temps passé à cuisine/satisfaction des papilles est à son comble! (et bien, vous allez finir par croire que je suis vraiment obsessionnelle...)
Un okonomiyaki de dessin animé
Pour deux personnes
-100g de farine à okonomiyaki
-100mL d'eau
-un oeuf
-un tout petit morceau de saumon frais coupé en dés
-3 tranches très fines de poitrine fumée
-quelques feuilles de chou émincées
-un peu de comté râpé (typiquement japonais je sais)
Et pour garnir: de la bonite séchée, de l'algue en poudre, de la sauce okonomi (en flacon souple, la même que pour les yakisoba, avec le visage jovial et dodu d'une dame à cheveux qui rebiquent sur l'emballage) et, pour ceux qui l'aiment, de la mayonnaise surtout pas maison.
C'est d'une simplicité déconcertante. On mélange tous les ingrédients, sauf la poitrine que l'on aligne dans une poêle très légèrement huilée, on verse la pâte dessus et on fait cuire à feu moyen/vif. Quand on sent que le dessous est doré, on retourne prestement l'okonomiyaki et on fait cuire l'autre côté sur feu plus doux, jusqu'à ce que la consitance nous plaise, je ne sais pas comment expliquer mieux (surtout que c'est G. qui les a faits et qu'il ne peut pas répondre parce qu'il est plongé dans une lecture passionnante dans une autre pièce). Pour servir, il faut d'abord faire une spirale de sauce okonomi (et de mayonnaise si l'on veut), puis on saupoudre d'algues en poudre et enfin de copeaux de bonite sèchée qui ondulent alors avec la même grâce que celle adoptée par les méduses dans le profondeurs marines (enfin, ça me fait penser à ça. Il y en a que ça dégoûte, ils ont l'impression que c'est encore vivant).
Délicieux très chaud avec une salade de concombre et de jeunes pousses assaisonnée avec une vinaigrette à l'huile de sésame.
Pour goûter un vrai okonomiyaki si vous êtes à Paris, vous pouvez aller à Aki, 11 rue Sainte Anne, où tout est frais et délicieux ou à Azabu, où l'ambiance est jolie et chic (et où les prix sont en conséquence, mais la salle du bas est très belle et le service délicat et attentionné). Et si vous voulez avoir l'impression d'être dans un manga, vous pouvez aller déguster un bon bol de udon brûlant en faisant, comme il se doit plein de bruit, juste à côté, à Kunitoraya, au 39 de la même rue.
Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de recevoir votre goûter par la Poste avec une carte rose et plein de mots gentils? Grâce à une fée, j'ai eu droit à ce petit bonheur, plein de bredele et du bon thé... Merci. Vivement que l'on se voie en vrai autour d'un goûter!
Et puis, il y avait un dessin animé japonais que je trouvais un peu sulfureux bien que franchement dégoulinant, dont je ne me souviens plus du titre mais où il s'agissait d'une jeune fille avec une queue de cheval, élevée par son père qui tient un restaurant, et qui fréquente -de très près- les membres d'un groupe de rock dont le chanteur avait non seulement les cheveux roses coiffés en pseudo banane mais aussi un petit frère aux cheveux bleus et bouclés qui ne sortait jamais sans son chat dodu qui s'appelait, et ça j'en suis certaine, Roméo. Il se trouve que ce chat était particulièrement friand de crêpes que préparait le papa de la jeune fille sur la plaque chauffante du comptoir de son restaurant or, la ressemblance de ces crêpes avec les okonomyaki goûtés pour la premières fois lors de londoniennes vacances, ne fait aucun doute. J'ai percé le mystère des crêpes dont rêvait Roméo!
L'okonomiyaki (qui signifie littéralement "ce que vous voulez, grillé") est une sorte de crêpe japonaise assez épaisse que l'on peut garnir selon son envie (et ses placards). C'est un plat très régressif, sucré, doux, croustillant dehors et très moelleux dedans. Grâce à la farine toute prête à okonomiyaki (que l'on peut trouver à Paris à l'étage de Kioko), la préparation est très rapide et le rapport temps passé à cuisine/satisfaction des papilles est à son comble! (et bien, vous allez finir par croire que je suis vraiment obsessionnelle...)
Un okonomiyaki de dessin animé
Pour deux personnes
-100g de farine à okonomiyaki
-100mL d'eau
-un oeuf
-un tout petit morceau de saumon frais coupé en dés
-3 tranches très fines de poitrine fumée
-quelques feuilles de chou émincées
-un peu de comté râpé (typiquement japonais je sais)
Et pour garnir: de la bonite séchée, de l'algue en poudre, de la sauce okonomi (en flacon souple, la même que pour les yakisoba, avec le visage jovial et dodu d'une dame à cheveux qui rebiquent sur l'emballage) et, pour ceux qui l'aiment, de la mayonnaise surtout pas maison.
C'est d'une simplicité déconcertante. On mélange tous les ingrédients, sauf la poitrine que l'on aligne dans une poêle très légèrement huilée, on verse la pâte dessus et on fait cuire à feu moyen/vif. Quand on sent que le dessous est doré, on retourne prestement l'okonomiyaki et on fait cuire l'autre côté sur feu plus doux, jusqu'à ce que la consitance nous plaise, je ne sais pas comment expliquer mieux (surtout que c'est G. qui les a faits et qu'il ne peut pas répondre parce qu'il est plongé dans une lecture passionnante dans une autre pièce). Pour servir, il faut d'abord faire une spirale de sauce okonomi (et de mayonnaise si l'on veut), puis on saupoudre d'algues en poudre et enfin de copeaux de bonite sèchée qui ondulent alors avec la même grâce que celle adoptée par les méduses dans le profondeurs marines (enfin, ça me fait penser à ça. Il y en a que ça dégoûte, ils ont l'impression que c'est encore vivant).
Délicieux très chaud avec une salade de concombre et de jeunes pousses assaisonnée avec une vinaigrette à l'huile de sésame.
Pour goûter un vrai okonomiyaki si vous êtes à Paris, vous pouvez aller à Aki, 11 rue Sainte Anne, où tout est frais et délicieux ou à Azabu, où l'ambiance est jolie et chic (et où les prix sont en conséquence, mais la salle du bas est très belle et le service délicat et attentionné). Et si vous voulez avoir l'impression d'être dans un manga, vous pouvez aller déguster un bon bol de udon brûlant en faisant, comme il se doit plein de bruit, juste à côté, à Kunitoraya, au 39 de la même rue.
Est-ce qu'il vous est déjà arrivé de recevoir votre goûter par la Poste avec une carte rose et plein de mots gentils? Grâce à une fée, j'ai eu droit à ce petit bonheur, plein de bredele et du bon thé... Merci. Vivement que l'on se voie en vrai autour d'un goûter!
24 Comments:
ton dessin anime c'est aishite night / embrasse moi lucille
Chouette, un okonomiaki chez Patoumi! J'adore ton introduction; j'ai très peu regardé la télé quand j'étais petite, mais quand j'étais moyenne, on profitait avec ma soeur des absences de mes parents pour faire le plein de sottises... Maintenant je n'ai plus de télé depuis plusieurs années et ça ne me manque pas une seule seconde...
L'okonomiaki pour moi, c'est un souvenir de Nikko. Un petit resto introuvable, le long de la grande rue sombre. On a essayé de demander notre chemin, mais le monsieur ne comprenait pas ce qu'on voulait... Le resto était tout vide. Chaque table est une grande plaque chauffante avec un rebord en bois rouge tout le tour. La serveuse apporte des ingrédients dans des petits bols et chacun mélange la pâte et les ingrédients pour sa "crèpe" qu'on cuit soi-même sur la table. La jeune serveuse était charmante. Elle nous expliquait patiemment comment nous y prendre... Il y avait aussi une dame âgée, peut-être la patronne, qui trouvait que la jeune serveuse ne faisait rien comme il faut et qui venait sans cesse lui prendre les choses des mains...
Tu me fais voyager, Patoumi! Merci :)
Non, non, non, le chocolat blanc à la noix de coco n'existait pas du temps de Rémi sans famille. J'en suis sûr, pas la peine d'insister.
Et Graine d'ortie, sur FR3, tu connais?
Adepte de cuisine japonaise, je ne connais pas l'okonomiyaki, il va falloir que je creuse la question sérieusement lors de mon prochain dîner dans un restau japonais munichois!
Devenue addicte depuis peu de ce merveilleux blog, je tiens à préciser que contrairement à ce que dit "grand chef" et ben si le copaya, chocolat blanc, ultra sucré avac coco rapée et emballé dans du papier mauve existait à l'époque de rémi sans famille !
Et comme toi, ma chère patoumi, j'aimais beaucoup lucille embrasse moi, celle qui a passé l'âge des enfantillages comme dit si bien la chanson !
Mille merci pour ta malice et ta fraicheur ! T'es la meilleur miss patoumi !
Ah Tristan, Mathias et leurs improbables coupes de cheveux... J'ai adoré ce dessin animé...
Shizuka, merci pour ta rapidité de réaction!
Merci Liliy, merci mais tes souvenirs valent aussi le détour. On en veut encore!
Grand Chef, je te prierais de ne pas me faire passer pour une menteuse! Je jure que ça existait vraiment, un truc d'une marque de supermarché avec un cocotier sur l'emballage. Et je veux bien plus d'info sur Graine d'ortie, ça parlait de cuisine?
Flo, c'est vraiment quelque chose à essayer, ça risque de te plaire...
Marine la sardine (ça c'est très joli), merci de confirmer pour le chocolat (et de me rappeler les paroles de la chanson, ça y est, c'est comme si je me reombais en enfance avec les couettes et tout et tout...)
Stéphanie, en fait c'était Tristan mon préféré (malgré les cheveux violets!), et toi?
C'est un chouette moment quand on goûte un plat qui a longtemps habité notre imagination ! je ne connais pas ce chat dodu mangeur de crêpes, mais je me souviens que dans beaucoup de dessins animés japonais, les personnages sont très gourmands. J'ai toujours une pensée attendrie pour ces séries un peu simplettes qui nous présentaient quand même de grands personnages (mon idole c'était ulysse 31). Et Clémentine, ce n'est pas elle qui rencontrait Melmoth ?
Je suis bien plus vieillllllllllllllle et j'ai grandi loin des programmes télévisés français (je me rattrappais pendant les vacances)mais j'adorais les Quatre filles du Dr March, j'ai du le voir en six versions différentes ! J'adorais Jo ...
Cet okonomiaki semble très réussi !
j'adore les okonomiakis, j'en ai mangé chez aki, mais je n'en ai jamais fait! ça a l'air si simple! merci
Une petite pensée de Lisanka en cette période de fêtes. Toujours émue par tes billets,
Bisous, que fin décembre te soit douce,
Lisanka
Quand j'étais petite je n'avais pas vraiment le droit de regarder la télé... quand il y était l'heure des trucs qui me plaisait en fin d'après midi, c'était aussi l'heure où ma mère rentrait du travail et elle éteignait vite fait la télé si on avait eu le malheur de l'allumer... et aucune excuse (tout les devoirs fait et la douche déjà prise et même le pyjama déjà enfilé...) n'était valable pour la rallumer...
Et puis comme j'avais cours les mercredi matins aussi, ben j'ai pas trop suivi les classiques... mais je garde quand mêmes des souvenirs de Bumbo, Mimi cracra, club BCBG, Princesse Sarah... même si je nne suivais rien régulièremet...
Pour ce qui est des reportages animaliers je les trouve tous soporifiques au possible, comme toute compétition sportive, je ne peux pas y trouver le moindre interet, ça m'ennuie au bout de 5 minutes même si je pratique le sport quasi au quotidien, le regarder, je peux pas! ^^
Les okonomiyaki je voulais en faire depuis que j'en avais vu chez Deboramia... j'avais réussi à dénicher la farine à prix d'or dans ma province et elle a été ravagée quelques semaine plus tard par une attaque de mites alimentaire (ainsi que toutes mes autres farines, stoquées logiquement au même endroit - ô joie!) du coup je n'ai attendu que le mois dernier pour racheter un paquet... que je n'ai toujours pas utilisé... Merci de rapeller son existance à mon cerveau embrumé...
Merci à toi pour ce doux clin d'oeil et à très bientôt!
PS: comme si ce commentaire n'était pas assez long, je voulais te "rassurer" sur la girlyttude du badge: il est parfait et ne prendra pas la poussière ;-)
Ah moi aussi c'était Tristan mon préféré... Saurais-tu me dire où trouver la farine à Rennes? Belasie peut-être?
AH!! Roméo qui mangeait!!cela faisait envie c'est vrai!
Très joyeux noël à toi!! biz
Très chouette blog! le dessin animé je le regardais aussi petite, yavait lucille et tristan et j'adorais le père et sa moustache!! très chouette blog en tous les cas, tu vas directement dans mes liens, na.
je me rappelle de longs mercredi d'ennui. Il parait qu'il est essentiel de laisser les enfqnst s'ennuyer, et bien c'etait reussi.
J'ai dejeune chez Aki ce midi, avec Marion, sur tes conseils. Pas un okonomiyaki, mais un katsu don - tres bon, le riz en particulier est delicieux. je n'ai plus qu'une envie maintenant, c'est de faire la sieste.
Une belle introduction.... ça ne pouvait se terminer effectivement que devant un okonomiaki que je découvre à l'instant même.... question télé, un peu le même itinéraire mais pas les mêmes émissions, (d'ou mon ignorance de l'okonomiaki mais je connais bien les épinards en boîtes...)
J'adorais aussi ce dessin animé qui s'apellait "Lucille Amour et Rock'n roll!" !!!
J'étais folle amoureuse de Matthias...
Merci pour ce souvenir si joliment raconté, c'est toujours un plaisir de visiter ton blog, si bien écrit, c'est un petit rêve éveillé!
Quant à la cuisine japonaise, j'ai une vraie admiration pour cette gastronomie si raffinée et si esthétique, tes crêpes me donnent envie de me lancer...
bises et bonne année 2008 !
Sarah
http://princesseaupetitpois.mabulle.com
Superbe article !!
Moi aussi, j'ai BEAUCOUP regarde la television car, comme toi, c'est un peu elle qui me "gardait" et m'occupait. J'ai des milliards d'excellents souvenirs televisuels ; droles, tristes, idiots...
(Moi qui souhaiterais elever mes enfants sans television...!!!)
Gros bisous !
je confirme que chez Aki on est extrêmement bien reçu et qu'on y mange divinement bien :) Mille mercis pour cette adresse Patoumi !
Pour ce qui est des okonomiyaki(s), j'ai mangé mes premiers au goman etsu à Lyon et je me suis régalée également :)
Merci de raviver délicieusement le souvenir de mon premier okonomiyaki à Yamaguchi il n'y pas si longtemp que ça...
Je note qu'on a également les mêmes adresses pour (bien) manger japonais à Paris ^^
Rose > Oui, oui c'est bien elle!
Han là là, que de souvenirs ! J'adorais embrass-moi Lucille !!! Et je découvre les
okonomiaki
Bonjour,
j'adore la gastronomie japonaise et n'en suis qu'au début de mes découvertes, même si je pratique déjà habilement la confection de makis et sushis, merci pour cette recette appétissante. C'est en recherchant le nom d'un manga regardé quand j'étais petite que je suis tombée sur ton blog : je n'ai toujours pas retrouvé ce dessin animé qui mettait en scène un jeune garçon rêvant d'être sacré maître sushi et qui faisait divers concours(c'est ce qu'il reste de mes souvenirs du Club Dorothée)... Cela rappelle-t-il quelquechose à quelqu'un ? =)
Bonne continuation pour ton blog !
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